L’Éducation De Louis (01)

Cette histoire fleuve en deux parties raconte l’initiation puis les aventures sexuelles de Louis, de 18 à 40 ans. C’est une odyssée qui couvre tous les aspects de la sexualité gay, de la découverte, en passant par des phases plus chaudes, jusqu’à l’amour et la paternité
N’hésitez pas à me contacter pour vos questions, commentaires et suggestions sylvainerotic@yahoo.com
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Qui suis-je ? Mon prénom importe peu… J’ai maintenant une soixante d’années, et plus de souvenirs que de bons moments devant moi. Cela fait plus de 30 ans que j’habite la même demeure, mon beau château à la campagne, perdu dans les collines, au milieu des arbres et des champs. J’ai eu la chance de ne jamais travailler… Issu d’une famille noble désargentée, j’ai toujours eu juste assez d’argent pour maintenir le château en bon état sans jamais travailler… ni vivre dans le luxe. Une servitude en fait.
Mais malgré tout, j’ai pu mener une vie oisive, faite de lecture et d’art… et d’amour de la beauté et de la jeunesse. Depuis mon installation dans le château a 30 ans, suite au décès de ma mère, j’aime prendre sous mon aile des hommes jeunes. Contribuer à leur éducation intellectuelle. Ma bibliothèque fait beaucoup d’envieux, dans notre région bien rurale, isolée de tout, surtout au début ; sans internet. Ils sont nombreux à passer emprunter des livres, ou débattre avec moi de littérature, d’histoire ou de poésie.
Education intellectuelle… mais aussi plaisir charnel. Ce n’est un secret pour personne, mais j’ai toujours aimé prendre du plaisir avec tous ces jeunes. Ce n’est pas un secret. Ici, dans cette terre reculée, on préfère ne pas en parler. Mais je n’ai jamais abusé de personne. Ce que cela choque me laissent en paix. Certains jeunes hétéros apprécient ma compagnie, en tout bien tout honneur, et j’ai noué de très belles amitiés. Et bien sûr, j’ai eu la chance de faire de multiples rencontres érotiques et sexuelles. Des histoires brèves mais intenses.

Des jeunes en quête d’une première fois, d’autres en recherche d’une figure paternelle. Quelques histoires d’amour, mais rien de très durable. Certains ont abusé de moi bien sûr. Même si je n’ai jamais été vraiment dupe. Des moments de plaisirs contre des beaux livres… Malheureusement, avec l’exode rurale, et l’apparition d’internet, les rencontres se sont faites de plus en plus rares, et je vis plus dans mes souvenirs que dans le présent.
Souvenirs, justement… J’aimerais partager avec vous ma plus belle histoire. Qui n’est pas entièrement finie, car nous sommes toujours en contact, et unis par une amitié très forte. Louis, oh Louis ! Même si nous ne voyons plus beaucoup, et sommes de moins en moins en contact, tu es toujours aussi présent dans mon esprit. Tu ne le sais pas, mais à ma mort, le château et tout ce qui me reste te reviendra.
Louis est entré dans ma vie à l’adolescence, alors que j’avais moi-même une quarantaine d’années. Probablement, le point culminant de ma vie, en termes de physique, d’érudition et d’énergie. Tu avais 15 ou 16 ans à l’époque, et comme d’autres lycéens, tu venais faire quelques travaux au château contre de l’argent de poche. Très timide, très réservé. Un vrai petit provincial de la campagne. Mais quelque chose dans ton regard n’était pas comme les autres. Une brillance, une curiosité. Très vite, tu t’es intéressé à la bibliothèque, et m’a posé des questions. Conscient de ton potentiel, je t’ai pris sous mon aile. Je t’ai fait découvrir mes passions, et mes plus beaux ouvrages. Mais j’ai aussi perçu ta différence, sous tes traits fins. Je savais ton attirance pour les garçons avant que tu ne le réalises toi-même…
Nous sommes devenus très vite amis et tes visites au château se sont multipliées. Je t’ai vu grandir, murir intellectuellement et physiquement. A part la sexualité, nous n’avons vite plus eu de secret l’un pour l’autre. Jusqu’à ce jour du mois d’avril, la semaine qui suivit ton anniversaire, tes 18 ans.
Tu t’es mis à pleurer comme un la tête dans mon épaule.
Tu t’étais promis de perdre ton innocence. Avec une fille. Mais ta première expérience avait tourné au fiasco humiliant. Incapable de bander, d’être à ton aise. Les larmes. La réalisation soudaine que tu n’es pas comme les autres. Comme un barrage qui s’écroule… Tu pleures… Ma main caresse doucement tes cheveux bruns et frisés. Non, ce n’est rien Louis, n’aies pas honte.
Tu es le seul à qui pouvoir te confier. Tu es perdu. Aimes-tu vraiment les hommes ? Tu ne sais pas. Tu me demandes de t’aider. Tu me respectes. Tu sais que tu peux me faire confiance. Je te rassure. Je trouve les mots. Il t’appartient de découvrir qui tu es, lentement, et je suis là pour t’aider.
Mon premier conseil pour t’aider : commence par comprendre ce qui t’attires, ce vers quoi ou qui ton cœur et ton corps te conduisent. Après avoir séché tes larmes, je te confie un livre secret : des photos d’hommes nus, beaux, naturels. Rien de pornographique. Quelque chose d’artistique, homo érotique. Emporte ce livre avec toi Louis. Feuillette le dans l’intimité de ta chambre.
Après quelques jours, lors de ta visite. Je t’interroge : as-tu aimé ? cela t’attire-t-il ? as-tu fini par te masturber ? Tu réponds oui à chaque fois, doucement, en rougissant, mais avec sincérité et conviction. Tu t’avances vers moi : « s’il te plait j’ai besoin de toi, fais-moi découvrir le sexe et le plaisir des hommes, comme tu m’as fait découvrir tant d’autres choses. Tu sais à quel point je t’admire… ». Oui, Louis, laisse-moi faire ton éducation sensuelle et érotique de jeune homosexuel. Jamais je ne laisserai notre amitié se transformer en amour, mais laisse-moi devenir ton mentor sexuel… Doucement, pas à pas.
Je m’approche de toi. Pour commencer, je vais t’apprendre à découvrir et à aimer le corps de l’homme. Je me déshabille devant toi, lentement. Je te laisse découvrir mon corps et toutes ces parties qu’un homme qui aime les hommes sait apprécier : les épaules, le dos, le torse, les cuisses, les mollets, les pieds, les fesses, les organes génitaux.
Je marche doucement vers un fauteuil et te laisse m’admirer au passage. Déshabille-toi. Tu trembles un peu mais t’effeuilles petit à petit. Tu es mince, tu es beau. Imberbe. Plutôt pale. Des cheveux très bruns, tout comme tes poils pubiens. Quelques poils sur les jambes. Tourne-toi. Tes petites fesses sont superbes. Légèrement arrondies. Assieds-toi en face de moi. Que ressens tu ? Tu es un peu gêné, mais pas pudique. Tu bandes un peu. Tu aimes être nu ? Oui, c’est agréable. Surtout de toucher une peau d’homme nu… Je commence à me caresser. Toi aussi. On se regarde. On se branle doucement ensemble. Tu jouis assez vite. Moi peu après. Tu as aimé ? Oui. Tu es un peu gêné maintenant. Je t’apporte une serviette. Tu dois rentrer chez toi. Je t’attends avec impatience le prochain week end.
Lors de ta visite suivante, on agit comme si de rien n’était. On parle de livres. Je vais et je viens, je vaque à mes occupations. Tu t’installes dans le canapé avec un livre. C’est le printemps et il fait déjà chaud. Tu tournes un peu dans toutes les positions avec ton livre. Je sens que quelque chose te démange. Ta main caresse doucement ton entre jambes. Tu me glisses doucement : « j’ai envie de me déshabiller, et de te voir tout nu comme la dernière fois ». Je souris. On se déshabille. Une fois tout nu, tu t’étires. Tu te sens bien. Moi aussi. Oui Louis, être nu est tellement bon. Être nu, c’est être libre, sensible, ouvert à la sensualité. Tu t’installes sur le ventre sur le canapé, avec ton livre. Je regarde la courbure parfaite de ton corps, de tes fesses, de tes jambes qui se relèvent parfois. Tu es comme un , pour qui le nu est naturel. Après la lecture, on commence à se caresser l’un en face de l’autres. Mais cette fois, je vais t’emmener plus loin. Je viens m’assoir à tes cotés. On se masturbe cote à cote. On se regarde. Je saisis ta bite verticale doucement et je te masturbe. Tu fais pareil avec ma queue. On ne se quitte pas des yeux. Tu te penches doucement et nos lèvres se rencontrent.
Un baiser léger, chaste. Ton premier baiser avec un homme. Tes lèvres sont tellement douces, légèrement humides. Nous n’avons pas le temps d’aller plus loin car tu éjacules abondamment sur ton ventre. A peine une minute. Tu es gêné. Tu rougis. Tu t’excuses. Tu n’arrives pas à te contrôler… c’est tellement nouveau… et le plaisir est aussi bon qu’inattendu. Comme la dernière fois, tu es embarrassé après avoir joui et rentre chez toi sans rien dire. Le sexe te donne encore des remords, et un sentiment de culpabilité…
Mais bien sur tu reviens le week end qui suit. Dès le vestibule franchi, tu te mets tout nu, et t’étire de plaisir, comme un jeune chat. Mais il fait plus frais aujourd’hui. Tu cours. J’aime te voir gambader nu. Surtout de dos. Tes petites fesses… Je fais du feu dans la cheminée, et tu lis nu devant l’âtre. Tu te mets à bander, car tu sais que l’heure de ta leçon approche. Je viens vers toi et je t’embrasse sur les lèvres. Ta main ferme agrippe ma queue. Notre baiser est langoureux. Pour la première fois, ma langue entre dans ta bouche. Oui, Louis fais l’amour avec tes lèvres. Laisse nos langues s’aimer. Offre tes lèvres. Recois ma salive et donne-la-moi tienne. Oui Louis, les lèvres sont une zone érogène, et cela te fait bander. Donne er recois du plaisir avec ta bouche. Applique-toi. Tu embrasses bien. Tes mains caressent doucement, mais plus par reflexe, de manière monotone. Je t’apprendrai les caresses progressivement. Pour le moment apprends juste à embrasser. Ton orgasme arrive bien vite, tu t’en veux. Tu aurais aimé que ça dure plus longtemps. Ne t’en fais pas Louis, avec l’expérience tu arriveras à te contrôler. Une fois nettoyé, tu restes nu, et on passe l’heure qui suit à s’embrasser. Je me régale de tes lèvres délicieuses. Tu me confies que tu masturbes trois fois par jour, et ne pense qu’aux hommes. Dans la rue, tu ne regardes qu’eux… Tu te branles vite, sous la douche, sous tes draps, aux toilettes. Il te faut maintenant jouir vite, c’est un besoin compulsif. Il m’appartient de le canaliser… Cela me donne une idée pour ta prochaine leçon, Louis.
Lors de ton passage qui suit, tu te jettes dans mes bras. Mets toi tout nu vite, me demandes tu. Tu enlèves tous tes vêtements, tandis que je prends tout mon temps. Tu m’interromps par des baisers fugaces. Ta main caresse ma bite sous mon pantalon. Tu te touches. Une fois nu, je t’interromps, et te prends par la main, et je t’emmène dans ma chambre. Chut… Fais moi confiance Louis. Je sors un bandeau de la commode et te le mets sur les yeux. Tu te laisses faire. Oui Louis, laisse-toi faire. Reste nu, debout, immobile. Je tourne autour de toi à distance. Du bout de l’index je caresse ta peau. Je souligne tes lèvres, descend le long de ton cou, tes épaules, ton torse. Je sens ton corps frissonner. Je te parle doucement. Non Louis, le sexe ce n’est pas seulement se masturber à toute allure, c’est aussi de longs moments de plaisir. Pour ton corps en entier. Non le sexe n’est pas un instinct inné, mais un plaisir qui se découvre et s’apprend. Mon doigt descend et caresse ton sexe en érection, puis ses cuisses. Je vais t’apprendre tous les plaisirs du sexe entre hommes Louis. Toutes les positions, toutes les pratiques, même celles qui te paraissent étranges. Ton corps entier va devenir un océan de plaisir. Mon doigt remonte le long de tes fesses, puis descend doucement le long de ta raie, en surface. Tu fremis.
Je te prends par la main et t’allonge sur le dos. Mes mains te caressent, partout. Tu souffles et tu gémis de plaisir. Je te masturbe doucement. Tu te laisses faire immobile. Tu apprends à recevoir du plaisir, plutôt que de t’en donner de manière solitaire. Des lèvres j’embrasse toutes les parties de ton corps. Je dépose des baisers sur ta queue. Puis tes lèvres. Je t’embrasse longuement tout en te caressant. Ma langue descend dans ton cou, puis je lèche des petits tétons. Tu gémis de plus en plus, j’observe de grosses gouttes de précum sortir de ta bite. Je continue à te lécher les seins et te masse les couilles en douceur. Tu finis par éjaculer abondamment. Des jets puissants explosent. Tu défais le bandeau et tu m’embrasses passionnément. Tu as adoré cette expérience lente et sensuelle. Tu me supplies de continuer à t’apprendre le plaisir dans les jours à venir. Tu veux aller au-delà de tes branlettes quotidiennes. Mais d’abord repose toi Louis. Découvre le plaisir de dormir nu dans les bras d’un autre homme. Chair contre chair. Tu t’assoupis, nu et satisfait.
Au réveil, tu bandes et on se remet à se caresser et à s’embrasser. Ta tête glisse doucement vers mon sexe en érection et tu me prends en bouche pour la première fois. Tu es maladroit. Tes dents heurtent mon gland. Va doucement Louis. Ma main caresse tes cheveux et t’invitent à la patience. Tu suces simplement, des va et vient. Tu aimes ça. Je te caresse. A mon tour de te sucer. Ça fait un moment que je rêve de te prendre en bouche. Ta queue est belle, droite, de taille moyenne. Des gouttes de sperme perlent à son extrémité. Je vais te montrer comment sucer. Je commence par lécher le gland doucement. Je dépose des baisers dessus. Puis ma langue glisse le long de ta bite, je la lèche bien. Puis enfin je te prends en bouche. Je te suce, et ma langue bouge contre ta queue. Je te sors de ma bouche pour te branler, j’alterne les branles et les fellations. Jusqu’à te prendre au plus profond de ma gorge. Je veux que tu apprennes à jouer, à donner tu plaisir, à solliciter chaque partie du corps de l’autre. Ma langue descend et lèche, gobe tes petites couilles. Je te suce à nouveau, jusqu’à ce que tu ne puisses plus te contrôler. Tu te retires brusquement et jouis sur ton ventre. Après cet orgasme, tu mets en pratique ce que je t’ai appris, tu t’appliques timidement, tout en prenant beaucoup de plaisir.
Tu deviens de plus en plus passionné et avide de continuer. Mais le bac approche pour toi. Même si tu es brillant, et toujours plongé dans les livres, je ne veux pas devenir une distraction, maintenant que nous sommes au mois de mai. Je ne veux pas briser ton rêve de monter faire tes études à Paris.
Aussi, chacune de tes visites, en général le week end, est d’abord studieuse, tu révises dans la bibliothèque du château. Puis le rituel est toujours le même. Après les leçons de l’esprit, les leçons du corps. Tu te déshabilles intégralement. Tu aimes te promener nu dans le château. Puis vient le moment de ton éducation sexuelle. Baisers, caresses, fellations. Dans le salon, ou dans ma chambre. Maintenant que tu suces et aimes être sucé, il est temps de faire découvrir le sperme. Tu aimes l’explosion de l’orgasme, et voir les semences jaillir. Mais il est temps que je t’apprenne à participer à l’orgasme, Louis. Choisir ou jouir et quand jouir. Recevoir le sperme de son partenaire sur son visage, et jouir de recevoir la vague chaude de plaisir, autant que celui qui jouit lui-même. Manger ses semences. Le gouter. Doucement, tel un nectar ou directement à la source pour sentir l’autre en soi. Louis, peu importe le gout du sperme, c’est toute la psychologie qui compte. Je commence un jour par déposer quelques gouttes de sperme sur tes lèvres après avoir joui. C’est salé, spécial, mais tu n’es pas dégouté. Tu te mets à ramasser le précum du bout des doigts et à le manger quand on se branle ensemble. Puis tu finis par vouloir ce sperme, le désirer, comme tu désires ton partenaire. Tu me suces et me laisse jouir sur ton visage. Tu aimes les projections sur tes joues et ta bouche C’est chaud, puissant et érotique. Les jets coulent sur ton visage, et tu te branles aussitôt pour jouir. L’idée même d’avoir le visage couvert de sperme t’emmène au paradis. Des lors, nos fellations se terminent toujours par des éjaculations faciales, ou en bouche, ou sinon, tu aimes autant que moi lécher le sperme et le manger, tout en regardant ton partenaire amoureusement. Tu me confies, que tu manges aussi ton propre sperme après tes branlettes solitaires.
Nous sommes maintenant début juin. A l’approche du bac, tes visites se raréfient un peu, mais tu arrives quand même à t’offrir la distraction d’une visite chez moi de temps en temps. Tu viens nager nu dans le petit lac du château, et on échange baisers, caresses et fellations a l’ombre des arbres.
Tu passes le bac avec brio, surtout en philosophie, histoire, grec et latin. Je suis tellement fier de toi. Mais je sens que tu vas bientôt voler de tes propres ailes…
Heureusement, tu as maintenant tout l’été devant toi, avant de partit pour Paris en septembre. Tu es bien dans ta peau maintenant. Confiant dans ta sexualité, libéré du poids du lycée. Mais il te reste à briser le dernier tabou : celui de pénétrer et d’être pénétré par un autre homme. J’ai toujours attendu que tu sois prêt, que tu le désires vraiment. Cela te brule d’essayer depuis un moment, mais il te faut surmonter les appréhensions, bien entendu.
Comme pour le reste, c’est moi qui t’y suis amène, doucement. Je t’ai demandé de me prendre, un soir de juin. J’ai préparé ta queue doucement, me suis mis en position, sur le dos, jambes écartées. Vas-y Louis, glisse-toi doucement en moi. Tu vas voir, c’est une nouvelle étape extraordinaire. Tu rentres en moi, et découvre la sensation incroyable de la pénétration. La pression chaude, de plaisir sur ta queue. La psychologie d’être dans ton partenaire, de t’unir a lui, encore plus que lors d’un baiser ou d’une fellation. Tu bouges doucement en moi. Oui, Louis fais moi l’amour. Je caresse tes petites fesses, ma main att ta nuque. Je t’embrasse. J’aime voir ton petit corps imberbe monter et descendre. Tu finis par éjaculer au fonds de moi. Louis, tu as fait l’amour pour la première fois.
Maintenant que les cours sont finis, tes visites deviennent plus fréquentes. Tu me sodomises à chaque fois, et tu y prends gout. Tu découvres les positions… Mais très vite de toi-même, tu éprouves le désir d’être passif et de te donner a moi. Oui, tu as envie d’essayer bien sûr. Mais surtout tu ressens l’envie d’être pénètre, de m’avoir en toi. Louis, sache que le désir d’être pénétré est naturel quand on désire l’autre. La sodomie est l’acte sexuel le plus fort et le plus symbolique. Et je vais t’y amener doucement. D’abord l’hygiène bien sûr. Mais surtout t’apprendre à prendre du plaisir avec une partie nouvelle de ton corps. Tes fesses, ton anus, ton rectum, et bien sur ta prostate. Je passe plusieurs séances à te préparer. La plus symbolique est celle ou je rase des légers poils autour de l’anus. Je te veux lisse et imberbe. Puis tu m’offres tes fesses en offrande pour la première fois, entièrement nu sur mon lit, quatre pattes. Je t’ai bandé les yeux de nouveau, pour que tu ne penses qu’a la sensation nouvelle qui t’attend. Comme tes fesses sont magnifiques Louis. Petites, rondes, imberbes. Deux fruits superbes. Je les couvre de baisers. Je les lèche. Puis mes mains les écartent, et ma langue lèche doucement ta rosette. Détends toi Louis. Oublie tout ce que tu as appris. Que ressens tu ? Tu tressailles. Oui Louis tu peux éprouver du plaisir là aussi. Ma langue te caresse. Tu bandes. Tu aimes. Continue. Ecoute ce que ton corps te dit. Ma langue pénètre légèrement ton anus Louis. Penche-moi maintenant, tête dans l’oreiller. Ouvre-toi davantage. Ma langue se fait plus rapide et plus profonde. Tes gémissements continuent. Tu me supplies maintenant. Tu veux que je te prenne. Tu me veux en toi. Un besoin plus psychologique que physique. Pas tout de suite Louis, sois patient. Je mouille un doigt et te pénètre doucement. Oui je suis en toi Louis. Mon doigt tourne et te travaille. Tu pousses un cri de plaisir. J’ai touche ta prostate. Tu es surpris. Mais le plaisir est plus fort. Tu mouilles. De grosses gouttes de sperme tombent de ta queue. Tu ne t’attendais pas à ça. Mon doigt te stimule et te fait jouir doucement et lentement. Un orgasme long, lent et continu. Le sperme coule doucement. Tu miaules comme un jeune chat. J’ai maintenant ouvert une porte secrète en toi : une nouvelle façon de prendre du plaisir.
Dès le lendemain, nous recommençons : cette fois je te place sur le dos, au bord du lit, jambes bien écartées. A genoux au pied du lit, je lèche ton petit cul. Je prends mon temps, j’aime sentir le désir, ton besoin tellement pressant de te faire sodomiser. Je me redresse et lubrifie ma queue. Tu es prêt à me recevoir, disponible, les mains derrière les cuisses. C’est toujours dans cette position que je dépucèle mes jeunes amants. Eux sur le lit, sur le dos, moi debout. Le lit est suffisamment haut. J’adore observer ce corps nu, jeune, imberbe qui m’attend. Ce petit torse lisse. Je rentre progressivement en toi Louis. Tu grimaces. Des larmes apparaissent au coin de tes yeux. Chut, détends-toi. Oui, c’est douloureux. Ça l’est toujours. Je vais doucement. Ça y est je suis entièrement en toi. Tu n’es plus vierge Louis. Tu t’es donné à moi. Tu serres les draps avec tes mains. Je bouge lentement. Tu as mal, tu te sens « plein », « rempli ». Ta bite est débandée. Malgré la douleur tu me demandes de continuer. Ton désir est plus fort que ton plaisir. Ta psychologie plus fort que ton corps. J’aimerais te baiser longtemps, mais je respecte ta douleur. J’observe ton corps de jeune adonis et jouis au plus profond de tes entrailles. Recois mon sperme Louis. Comprends bien l’importance de recevoir les semences de ton partenaire en toi, de te donner à lui. Un dernier éclair de douleur te traverse quand je me retire. As-tu aimé ? Tu as souffert, mais tu es fier de toi. Tu veux recommencer des demain. Ce n’est qu’au bout de la troisième ou quatrième fois que la douleur n’est devenue que passagère. Des sensations neutres d’abord. Mais je me souviens de cette fois à la fin de la semaine où tu as commencé à prendre du plaisir : tu t’es mis à rebander pendant que je t’encule. Tu me laisses en toi suffisamment longtemps pour me laisser travailler ta prostate. Comme pour les autres jeunes que j’ai initiés à la sodo, je n’oublierai jamais ces lueurs de plaisir dans tes yeux, ces gémissements, et ces supplications. Oui Louis la sodomie est la plus belle façon de s’aimer pour deux hommes : ils se pénètrent, se possèdent, fusionnent et se donnent du plaisir. Non Louis ne te branle pas. Je retire ta main. Tes pieds reposent contre mes épaules. Toujours cette position pour l’instant. Tu utilises tes mains pour te caresser les seins maintenant. Tu bandes ferme. J’accélère. Et je te fais jouir. Tu pousses des cris violents, tant de plaisir que de surprise. Penché sur tes épaules comme tu l’es, le premier jet a atteint ton visage. Oui Louis, je t’ai donné ton premier orgasme anal. Tu as joui de l’intérieur, et cet orgasme c’est moi qui te l’ai donné. Je dépose à mon tour mon sperme au plus profond de toi. Tu me sens me déverser en toi. Des doigts tu ramasses et manges ton sperme. Un sourire radieux illumine ton visage.
Maintenant que tu es parfaitement à l’aise avec la sodomie, tu ne demandes plus à m’enculer, mais tu t’offres à moi tous les jours. Chaque session devient l’opportunité de te faire découvrir une nouvelle position. Je vais t’apprendre tous les secrets. D’abord par derrière Louis. En levrette sur le lit, ou debout penché contre un meuble. C’est la position la plus animale Louis, car tu présentes ton cul à ton partenaire, tu te donnes et te soumets ainsi à lui. Ton partenaire peut contrôler comme il le veut, et surtout admirer ton dos, et tes belles épaules. Tu aimes cette position Louis, comme tous les passifs naturels. Ensuite, je t’apprends à t’empaler sur moi, quand je m’allonge sur le dos. Dans cette position Louis, je peux admirer ton corps et te caresser. Mais surtout tu peux jouer avec ma bite et prendre le contrôle. Oui Louis, être passif ça ne veut pas dire ne pas prendre les choses en main. Au début tu te soumets entièrement à moi, et recois passivement ma queue en toi, mais progressivement tu comprends qu’il t’appartient aussi de participer, de bouger ton bassin et tes petites fesses. De me faire l’amour avec ton petit cul. Et bien sûr, je continue à te prendre par devant. J’aime sentir tes mains caresser mon dos et mes fesses, et pouvoir t’embrasser, pénétrer ta bouche avec ma langue, ton en te pénétrant analement.
L’été est maintenant bien avancé. Nous sommes en aout. Et je t’ai appris l’essentiel. Ton éducation sexuelle est presque complète, en tout cas pour les choses essentielles. Dès lors, les dernières semaines deviennent un moment magique de notre amitié. Tu visites le château tous les jours. Tu es nu dès ton arrivée, et ne te rhabilles qu’en partant. Tu envahis les lieux tel un petit prince. Ta jeunesse et ton érotisme envahissent les lieux. Tu te baignes nu dans le lac, lis nu dans le jardin, déjeunes nu sur la terrasse. On fait l’amour tous les jours, au moins une fois. Parfois, jusqu’à trois fois. Chaque pièce, chaque recoin du château devient le théâtre de nos ébats. Je te baise partout. Nos séances sont torrides. Toujours câlines au début, baisers, caresses, suces et lèches. Puis je t’encule, encore et encore. Ton visage, ta bouche et ton cul reçoivent mes semences tous les jours.
Début septembre vient le temps de la séparation. Ton éducation est achevée. Nous ne ferons plus jamais l’amour. Il est temps pour toi de partir à Paris, d’explorer le monde, et de devenir un homme, et un amant. Ai-je été attristé par ton départ ? Oui bien sûr, comme quand deux amis se quittent. Ai-je été amoureux ? Non. Je ne t’ai jamais dit je t’aime. Toi non plus.
Mais nous sommes toujours restés en contact. Et tu as toujours partagé avec moi tous tes secrets intimes. Personne n’est au courant de la part sexuelle de notre amitié. Tu ne l’as jamais dit à personne. On a continué à échanger des emails et j’ai continué à faire ton éducation sexuelle et à te conseiller depuis.

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